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Coucou à tous, j’espère que la reprise se passe bien pour vous, moi je suis en vacances 😛 Bah quoi, chacun son tour 🙂

Aujourd’hui, je viens vous parler d’un roman atypique : Écosphère, tome 1 : Le laboratoire englouti, de Chlodion Gossart. Pourquoi atypique ? Eh bien, vous le saurez en lisant cette chronique 😉 (#teaserdeouf XD)

C’est d’abord la couverture qui a attiré mon attention, lorsque je l’ai vue apparaître sur un post Instagram de @liseusefantasy, avec cette association de vert et de brun et la luminosité qui se dégage de la sphère.

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Illustration : Winnie Joe

Puis, le résumé du livre et l’article de @liseusefantasy m’ont convaincue de l’acheter (au format numérique).

Infos pratiques

Auteur : Chlodion Gossart
Parution française : juin 2018
Éditions : Librinova (autoédition)
Pages : 81

Résumé de l’auteur

« Dans un monde où les humains naissent avec une Affinité, la marque donnant le pouvoir de maîtriser l’un des quatre éléments naturels, Arane grandit privée de ce don. Malgré les tabous qui entourent l’usage de la technologie, l’adolescente s’est réfugiée dans la conception de machines pour tenter de combler son handicap… Jusqu’au jour où elle hérite d’un orbe capable de contrôler la nature : l’Écosphère. »


Mon avis

Écosphère est un texte de 81 pages. Entre la nouvelle et le roman, ce format, que je ne connaissais pas, porte le nom de « novella » (j’avais déjà entendu parler des « light novels » japonais, mais je ne sais pas si c’est vraiment pareil). Voilà pourquoi il s’agit pour moi d’un roman atypique.

Le format est original et j’aime beaucoup le principe, parce que l’histoire se lit vite (entre deux pavés c’est très agréable) et parce que j’ai l’impression de lire une série TV. Oui, c’est un peu bizarre dit comme ça, mais ce que je veux dire, c’est qu’avec ce format court, on peut à la fois prendre le temps de découvrir les personnages et profiter d’un peu d’action dès les premières pages.

Ce premier tome d’Écosphère constitue une bonne introduction à l’univers de l’auteur. Un univers qui mêle piraterie, steampunk, magie, science, écologie, tout ce que j’aime en somme. (Dois-je vous rappeler que je suis une fan de Pirates des Caraïbes ?^^)

giphy

Je me suis vite attachée aux deux personnages féminins principaux. D’abord Leily Stirner, une jeune femme pirate et capitaine de la Rose noire (j’adoooore !) et ensuite Arane, une jeune fille débrouillarde qui construit des machines pour pallier son manque de pouvoir magique (yeeeeh !).

J’ai trouvé qu’il y avait un petit côté jeu vidéo ou jeu de rôle avec une quête identifiée et des étapes intermédiaires, et ça m’a plu.

J’ai particulièrement apprécié l’histoire de base et le pouvoir de l’écosphère. L’un des ingrédients de l’intrigue (concernant l’inventeur et sa grande création), m’a beaucoup plu et m’a fait pensé à un élément du film Avengers : l’ère d’Ultron, mais je ne vous en dis pas plus, pour que vous le découvriez par vous-même.

Néanmoins, il y a un aspect du texte qui a refroidi mon enthousiasme : les fautes de syntaxe, de grammaire et de conjugaison qui, à chaque fois, ont eu pour effet de me sortir de l’histoire. Heureusement, je pense que c’est quelque chose qui peut être rectifié assez facilement. D’ailleurs, si un jour l’auteur sort une version corrigée de ce texte, je pense que je me jetterais dessus (sur le livre, pas sur l’auteur, patates).

Bon, ce n’est pas tout, on rigole on rigole, mais à quand le tome suivant ?


En résumé

coeur Le format
coeur L’univers : pirate, steampunk, science-fiction, fantasy
coeur Les deux personnages féminins principaux
coeur L’intrigue
test Trop de coquilles et de fautes


Extrait

Leily Stirner avait dix-sept ans. Sa longue chevelure d’ébène coiffée en tresse et parée d’un énorme chapeau la distinguait immédiatement de la foule, tout comme son manteau de cuir usé qui laissait entrevoir un séduisant corset noir. Leily était une pirate qui, malgré son jeune âge, était à la tête d’un équipage et d’un navire : la Rose noire.

 

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4 commentaires

    1. Pour l’instant, il n’est disponible qu’en version numérique. L’auteur m’a dit via Instagram qu’il le sortirait peut être en version papier mais qu’il n’était pas encore sûr du format (intégral ou par épisode).

      1. Merci pour l’info 😀
        Je lis très rarement du numérique (accro au papier ^^), mais je pourrais peut-être bien faire une exception pour une bonne histoire de steampunk … J’ai du mal à en trouver d’autres que celles de Gail Carriger :/

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